Kyo Marketing Interactif, c’est un peu comme ma deuxième maison depuis 2012, une aventure que je chéris jour après jour.
Avec mes études en Marketing et Commerce international aux HEC, j’avais déjà derrière la cravate quelques missions commerciales à l’étranger et, ayant participé au développement d’affaires pour diverses entreprises, l’intérêt pour le marketing web allait de soi. Je suis fière diplômée de la première cohorte d’Internet Business à l’Université McGill et j’ai contribué depuis à l’épanouissement de nombreux clients au fil des années. Avant de créer cette micro-entreprise, j’ai d’ailleurs mis mes compétences au service de la BDC en tant que sous-contractante pour un professeur de l’Université McGill.
Parmi mes réalisations notables, je collabore activement avec des entreprises locales pour dynamiser leurs réseaux sociaux et je travaille dans l’ombre de nombreux organismes à but non lucratif pour les mettre en lumière. Si j’ai aussi créé quelques sites web dans mon parcours -du multisite des Moulins La Fayette de Valleyfield en 2015 à celui d’une massothérapeute à Montréal , en passant par Plancher Design Expert-, j’adore participer aux initiatives concertées en Montérégie, telles que le mouvement Sauvons le Centre mère-enfant à Valleyfield, les sessions de brainstorming avec le Comité de Transport du Haut-Saint-Laurent, ou encore le Jour de la Terre où je collabore avec des intervenants de divers horizons.
Mon expérience unique me permet d’avoir une approche globale alliant le développement d’affaires traditionnel et les possibilités immenses de segmentation qu’offre le marketing web.
Saviez-vous que je suis maintenant à la recherche d’un.e alter ego pour rejoindre Kyo Marketing Interactif? Bien plus qu’une simple expérience professionnelle, je vous invite à participer à une aventure enrichissante au cœur de projets qui ont un impact réel. Si vous partagez ma passion pour le marketing interactif et le désir de contribuer positivement, je serais ravie de vous accueillir afin de former ensemble une équipe chaleureuse et dynamique.
Laissez-moi vous raconter une de ces fois où j’aurais voulu dire à mes clients « je suis désolée, mais j’ai divorcé de Facebook avec aucune possibilité de reconnexion ». Est-ce que ça vous est déjà arrivé? À travers ses fréquentes mises à jour à travers lesquelles on se fait trimbaler, abandonnant en chemin des outils utiles (comme la révision des traductions) ou nous abandonnant nous-même au beau milieu d’une traduction, je me suis souvent senti comme s’il m’était impossible de quitter un mariage qui me fait pourtant périodiquement tant souffrir.
Donc on remonte en décembre 2019, juste avant le confinement, alors que je transfère tous mes clients sous le Business Manager dans le but d’y gérer les publicités avec la carte de crédit de chacun plutôt que celle de mon entreprise (et dans une deuxième étape recharger à mon client).
Février 2020, un client décide de reprendre la gestion de son compte Facebook entre temps, puis là, tout déboule. Incapable de lui redonner accès, je le mets gestionnaire du Business Manager après avoir « libéré » du compte chacun des autres clients à la méthode proposée par Facebook puis, plus rien. Plus personne n’a accès à son compte Facebook sauf celui qui a pris la main du Business Manager.
Panique générale, je réussis à ouvrir un Ownership Dispute à la suggestion du service à la clientèle chez Facebook pour régler le problème. Si cela a permis à mes clients de récupérer leur plateforme, ça n’a rien changé à mon cas malgré un acte notarié que j’ai fait comme les autres (nous sommes tous passés par le même notaire, Christian Philie, que je remercie à profusion).
Puis courriels après courriels, je reçois toujours le même message de Facebook du type « votre clientèle est importante, on fait notre possible, on ne vous oublie pas ». Tombe la pandémie, tout passe au ralenti et on ne s’attend plus à rien.
Or, 4 juin 2021, soit plus d’un an plus tard, coup de théâtre: on me demande de refaire des prises d’écran (screen shots) pour expliquer que je n’ai toujours pas accès à mes pages et je réalise que mes pages n’existent juste plus!
Panique.
Panique.
Bin c’est ça. Elles n’existent plus. Pourtant, impossible d’utiliser leur nom en username quand j’ouvre à nouveau une page au nom de mes entreprises, Kyo Marketing Interactif ne peut pas ravoir @consultantsiteweb comme username tout comme Leaders de Demain ne peut pas utiliser @immersionanglaise. Ce constat me donne alors espoir que je puisse récupérer mes pages qui pouvaient peut-être, après tout, ne pas avoir été complètement (et horriblement) supprimées de l’univers.
Savoir qui a supprimé mes pages n’est pas une information disponible. Savoir ce que j’ai fait (ou quelle consigne que je n’ai pas suivie) n’est pas une information disponible non plus. Voici les recommandations que Facebook m’a données (traduction libre).
Si ce genre de situation arrive à un de vos client, nous vous recommanderions quelques points:
1. Ils peuvent ajouter une autre personne à leur page à titre d’admin, comme ça s’ils perdent accès à leur page, cet autre administrateur peut les rajouter.
2. Vous pouvez contacter le soutien technique de Facebook en suivant ce lien afin de rapporter un compte qui se serait fait piraté: https://www.facebook.com/help/hacked
3. Vous pouvez également jeter un coup d’oeil à ces liens afin de sécuriser votre compte:
–https://www.facebook.com/help/213481848684090/
–https://www.facebook.com/help/235353253505947
Voilà donc qu’après 11 ans d’activités sur les réseaux sociaux à titre de consultante, je me retrouve avec mes deux pages au bon nom (j’ai reçu la confirmation ce matin que j’avais réussi à récupérer mes usernames), mais avec une belle page blanche à reconstruire avec aucun abonné. *soupir
Entreprises! Vous avez probablement entendu parler du changement que Google apporte à sa plateforme de placement d’annonces, modifiant son concept de 2e enchère pour adopter la 1ère enchère comme les plateformes concurrentielles.
Or, comme Google a dernièrement apporté plusieurs modifications à ses plateformes publicitaires, il aurait été fort probable que la nouvelle appellation englobe justement les plateformes que j’utilise et un changement de modèle d’affaires aurait eu un impact majeur s’il devait s’appliquer à mes clients.
Après plusieurs recherches, j’ai finalement sorti le plus important: cette modification majeure ne s’applique qu’aux enchères sur Google Ad Manager (« DoubleClick for Publishers » et « DoubleClick Ad Exchange ») et ne concerne qu’une infime partie de leurs clients: très peu d’éditeurs numériques peut obtenir de compte Google Ad Manager comme la plateforme est typiquement limitée aux sites Web majeurs de diffusion de l’information comme le New York Times!
Si vous êtes tout de même curieux, d’ici la fin de 2019, Google Ad Manager change sa manière de faire des enchères. Alors qu’auparavant le prix du clic était établi à 0,01$ de plus que la bid juste en dessous, les comptes majeurs sont dorénavant facturés au prix de l’enchère qu’ils ont effectivement proposé (bid).
Ainsi, un annonceur remportant la mise à 7$ CPM (coût par mille -1000- impressions) paiera 7$ moins les frais. Cette façon de comptabiliser permet à l’annonceur de connaître en toute transparence les frais gardés par la plateforme web (le magazine). Ça permet surtout au logiciel Google Ad Manager de concurrencer pour le même espace publicitaire avec ses propres compétiteurs, tous déjà basés sur la 1ère enchère.
En mots clairs, il faut comprendre que les journaux majeurs ont beaucoup de demande pour leurs espaces publicitaires et plusieurs plateformes de gestion de publicités concurrençaient Google pour obtenir la vitrine pour leurs clients. Pour cette raison, une même annonce devait en fait passer à travers plusieurs enchères avant de statuer de sa position. Avec l’ancien modèle, la mise la plus élevée ne remportait pas nécessairement la meilleure place en participant à la première plutôt qu’à la dernière.
L’exemple donné, un client sur Google avec un bid de 7$ et dont l’enchère la plus près serait de 3$, finirait par offrir officiellement 3,01$ comme ils étaient sous le modèle de la 2e enchère. Parce que ce bid de 3,01$ est ensuite opposé à une autre plateforme sous le modèle de la 1ère enchère, une entreprise dont l’enchère la plus élevée serait de 4$ se verrait octroyer l’espace publicitaire à 4$.
Dans le futur, les 3 enchères se concurrenceront sur la même base, permettant à l’enchère la plus élevée de gagner effectivement l’espace.
La modification signifie également que Google n’aura plus droit à l’option « Last Look » qui donnait aux clients importants de Google la possibilité de payer une surenchère de 0,01$ pour remporter l’espace publicitaire.
Google n’abandonne pas le concept de 2e enchère pour le reste de ses plateformes dont il contrôle l’ensemble des entrants publicitaires comme YouTube, les résultats de recherche commandités Google Ads (anciennement appelé Google Adwords) et AdSense.
Ouf!
Avez-vous entendu parlé de cette MRC qui a dû déverser des sommes considérables à des pirates informatiques après avoir cliqué sur une facture envoyée d’un contact connu?
Toutes leurs données ont été encryptées et pour retrouver l’information, il leur fallait obtenir la clé de désencryptage de leurs fraudeurs.
Est-ce que ça vous est déjà arrivé?
J’ai moi-même eu ma dose de frousse récemment quand j’ai reçu un message commençant par « Hi, my victim. » Je me suis mise à trembler, panique totale en fait, et j’ai surtout évité de lire tout le courriel que je me suis empressé d’identifier comme « courrier indésirable ». J’ai surtout appelé Simon de Sud Ouest Design, mon support technique de tout instant.
« Un rançon de combien? 500$? Supprime ça Eveline, c’est rien. »
J’étais toujours un peu dubitative jusqu’à ce que je prenne la peine de lire le courriel, m’indiquant qu’ils m’auraient trouvé les culottes baissées devant un site porno et qu’ils publieraient des photos compromettantes si jamais je ne leur virais pas les bitcoins demandés.
C’est là que le stress est tombé complètement. 100% impossible! (Entendre ici un gros lol bien gras d’une fille rassurée – glisser ici le bonhomme qui pleure de rire)
J’ai depuis reçu 5 autres avis du type, avec différentes adresses courriel, m’avertissant que c’était ma dernière chance. Même « Hi, my victim » dans chacun d’eux.
J’ai aujourd’hui reçu la facture d’un collaborateur que nous n’attendions pas et qu’il ne fallait surtout pas ouvrir. Prénom, nom de famille @notaria. qqch cette fois-là. J’aurais été la première à ouvrir le courriel si ce n’était que je ne reçois pas de facture habituellement de ce collaborateur.
La morale de cette histoire. Soyez vigilant.
Une piste donnée par la GRC:
- Le texte cherche habituellement à déclencher une réaction impulsive de votre part. Ces courriels vous annoncent une nouvelle bouleversante ou excitante et vous demandent une réponse immédiate sous un faux prétexte. Ces tentatives d’hameçonnage ne sont habituellement pas personnalisés.
- Un message vous demandant de mettre à jour, de valider ou de confirmer les renseignements personnels de votre compte ou d’appeler à un numéro précis, ne le faîtes pas. Rappelez directement votre fournisseur pour savoir ce qu’on veut de vous, si c’est le cas.
- Ne cliquez sur aucun lien d’un courriel suspicieux, n’en téléchargez aucun fichier joint.
Ne tombez pas dans le panneau!
Est-il encore possible à vos publications d’être visibles sans payer de pub Facebook?
Facebook a apporté dernièrement des modifications majeures à la manière dont l’afflux d’information est classé sur le fil d’actualité des utilisateurs.
De fait, afin d’améliorer l’expérience utilisateur, la priorité est maintenant donnée aux publications qui génèrent le plus de conversation, spécifiquement de la part d’amis ou de la famille.
L’important est toujours de créer du contenu qui suscite des commentaires et des partages mais depuis le 18 décembre 2017, Facebook dévalue les publications qui demandent expressément des « like », des « partage », des « commentaire », des votes ou d’ajouter des noms d’amis en commentaire. Concrètement, la publication se limitera aux gens qui auront été « tagués » plutôt que d’être diffusée à un public plus large.
Parmi les signaux étudiés dans l’algorithme de Facebook, on privilégie dorénavant les partages directs (par Messenger) et les publications partagées sur les murs des utilisateurs (de façon moins personnalisées) pour autant qu’elles génèrent de l’interaction auprès des amis, ce dernier aspect suggérant de considérer un deuxième niveau à la portée de vos messages.
Pour susciter l’interaction de la part de vos fans:
- Faîtes vos publications au moment où vos fans sont en ligne et ce, considérant que le moment variera selon le jour de la semaine. Cette information est disponible dans vos statistiques « Facebook Insights ».
- Envisagez joindre ou créer un groupe Facebook sur un volet susceptible d’interpeller directement vos fans. Si vous créez votre propre groupe, n’oubliez pas de relier votre groupe à la page Facebook de votre entreprise et parlez-en sur vos plateformes web ainsi que sur vos publicités dans les médias plus « traditionnels » tels que les journaux, la radio ou les panneaux à l’extérieur.
- Essayez l’utilisation de vidéo, tout particulièrement de vidéos « live » qui génèrent 6 fois plus de commentaires que le vidéo régulier.
- Dernier conseil et non le moindre, encouragez votre auditoire à prioriser vos publications d’eux-mêmes, en cliquant sur la flèche du bouton « déjà abonné » et en sélectionnant « voir en premier » dans « votre fil d’actualité », ainsi que « oui » dans la section « notifications ».
Je vous encourage d’ailleurs à vous pratiquer avec ma page Facebook.
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Audioblog À Patrick
Diffusé le: 15 janvier 2018
Titre: Comment avoir une entreprise bien référencée sur le web
(Patrick)
Cette semaine pour l’audioblog à Patrick je discute avec une spécialiste en stratégie de mise en marché web, Éveline Vinet de l’entreprise Kyo Marketing interactif.
Éveline, les auditeurs de Madose m’ont demandé la questions suivante, comment fait-on pour trouver son entreprise sur le web?
(Moi)
Pour être visible sur Internet, vous pouvez toujours être sur les répertoires web comme les pages jaunes ou faire l’objet d’articles qui auront été publiés sur Internet.
Ceci dit, la première porte d’entrée pour les entreprises sont souvent les médias sociaux. Cette présence, sans frais, vous permet d’échanger avec vos abonnés. Facebook vous permet même de faire des transactions et des annonces dont l’acuité du ciblage est surprenante.
Finalement et non le moindre, il y a votre site web qui peut être débusqué par les fameux moteurs de recherche.
Les Google de ce monde sont particulièrement utiles lorsqu’on ne connait pas d’entreprise qui offre le produit que l’on recherche, d’où leur grande importance dans la stratégie de mise en marché web.
Une fois un site web en main, on peut faire toute sorte de publicité sur les bannières dans les blogues et les magasines comme sur Google, par le biais des annonces commandités.
En gros, 50% des clics se font sur les annonces commanditées, et la balance va aux 10 résultats suivants, ceux qu’on appelle « organiques ».
On peut donc décider de faire des annonces sur Google -auquel cas chaque clic est facturé à l’entreprise- ou investir à long terme sur son site web pour se positionner dans les résultats organiques.
C’est mathématique: Google est une piste de course où rivalisent des compétiteurs pour un mot-clé recherché. Pour assurer sa visibilité, Google évalue la pertinence, la proximité et la popularité.
La pertinence, c’est en gros: est-ce que le site web comporte les mots-clés les plus stratégiques? Est-ce qu’il est capable de captiver l’intérêt de votre visiteur web?
Pour profiter des avantages liés à la proximité, il est important de spécifier sa géolocalisation, autant sur son site web que directement sur Google Map.
Finalement, la popularité du site est issue de tous les efforts que l’entrepreneur mettra à le promouvoir, que ce soit sur le web ou dans les médias traditionnels.
La job du SEO (Search Engine Optimiser) réside en la maximisation de ces trois concepts et déborde largement du contenu du site web.
(Patrick)
La prochaine question Éveline que j’ai eue est la suivante, pourquoi ne peut-on trouver mon site web sur Google.
(Moi)
Ça prend un certain temps pour être arpenté par les « bots » de Google qui s’occupe de qualifier selon le fameux algorithme l’information que contient le site. On ne peut pas s’attendre à apparaître le jour même de la publication de votre site en ligne. Ça peut prendre des semaines, même avec un super bon travail SEO à la base.
Il faut également dire qu’on ne peut pas trouver la page Facebook d’une entreprise sans entrer dans le moteur de recherche le nom exact de l’entreprise. Par exemple, ma tante vend des bijoux de fantaisie magnifiques qu’elle promeut sur sa page Facebook. Tapez les mots « bijoux de fantaisie » dans Google, vous ne la trouverez jamais. Il faut taper les Créations Danielle Soleil pour qu’elle y apparaisse.
(Patrick)
Avec ta stratégie de mise en marché web, combien de temps que ça me prendrait pour être en première place en faisant affaires avec une professionnelle comme toi?
(Moi)
Ça dépend du contexte de compétition. Ainsi, advenant que les sites web qui nous précèdent font peu d’effort, il suffit bien souvent de bien comprendre la clientèle cible et les personas spécifiques à votre sites web pour s’assurer d’optimiser la façon dont l’information est structurée sur le site web, et de miser sur les bons mots-clés.
Dans un contexte plus difficile, il faut ajouter des efforts toujours au niveau de la proximité, pertinence et popularité.
Tout est mis en place à différents degrés selon le client: un calendrier éditorial impliquant le blogue de l’entreprise, les médias sociaux, les opportunités de link building (c’est à dire des occasions que l’on rencontre pour avoir un lien vers son site à partir de d’autres sites web sur Internet) et des publicités sur les moteurs de recherche au besoin. Une révision du site peut également être faite et les textes optimisés.
On peut même faire 2 versions de pages-clés pour voir laquelle a le plus de conversions, c’est-à-dire celle qui conclue tout bonnement le plus de vente.
Si après 3 mois vous n’êtes toujours pas sur la première page de résultats de Google, c’est qu’il vous faudra faire des efforts. Si vous êtes toujours invisible après 6 mois, il faut mettre en place une stratégie structurée et s’asseoir ensemble! L’idéal, c’est quand j’interviens directement à l’origine du projet comme on peut travailler d’ores et déjà sur la structure et optimiser la navigabilité du site, son côté « user friendly ». N’oubliez pas que si un internaute recherche un mot dans Google, qu’il tombe sur votre site et ne poursuit pas son parcours sur votre site, ce simple geste grossit ce qu’on appelle votre taux de rebond et entre dans l’algorithme de Google comme un désaveu.
(Patrick)
Quel est le coût d’une annonce avec Google?
(Moi)
Pour déterminer le coût d’une annonce, Google a mis aux enchères les mots.
Le prix que coûtera le clic sur votre annonce dépend -comme le SEO- de la pertinence de la page sur laquelle on tombe lorsqu’on clique sur l’annonce, de sa popularité et de sa proximité du client qui clique sur l’annonce.
Pour mettre une annonce en ligne, il faut donc déterminer les mots sur lesquels on veut participer aux enchères, composer une annonce et déterminer un budget quotidien. Lorsque le budget est dépassé, l’annonce ne parait simplement plus, si bien qu’on ne dépasse jamais le montant qu’on avait déterminé initialement.
On peut calculer qu’un mot-clé coûte environ 1$/clic.
Quand j’ai terminé mes études en Internet Business en 2010, on nous donnait comme exemple le mot « lawyer » à New York, qui coûtait 25$ par clic. On peut comprendre l’importance de convaincre son visiteur lorsqu’il aboutit sur notre site au bout de son clic.
(Patrick)
Que doit-on faire et éviter en établissant notre site web pour que l’on puisse être bien référencé?
(Moi)
D’abord, il est important de déterminer les personas à qui s’adresse votre site web: en déterminant qu’est-ce que les gens viennent faire sur votre site, vous établissez les bases de votre site tant dans sa structure que dans son contenu. Son côté user friendly est important comme je disais pour minimiser les taux de rebond.
Quoique Google affine sa capacité à comprendre les synonymes, la recherche de mots-clés demeure importante puisqu’elle vous permet de connaître pour chaque mot-clé le nombre de recherche Google reçoit par mois dessus et le niveau de compétition.
Ceci dit, faut-il encore que l’info soit lisible par les moteurs de recherche: sachez par exemple que les mots photographiés ne peuvent être lus. C’est pour cette raison qu’on doit « taguer » une image.
La recherche du mot-clé va jusque dans la sélection du nom de domaine.
Par exemple, mon site est consultantsiteweb.ca, alors que le nom de mon entreprise est Kyo Marketing Interactif pour une raison bien simple: les gens sont beaucoup plus susceptibles de taper « consultant site web » que « Kyo Marketing Interactif ».
(Patrick)
En terminant Éveline combien doit-on défrayer pour obtenir tes services?
(Moi)
C’est beaucoup plus abordable qu’on le croit et il faut surtout pas hésiter à faire appel à moi dès les balbutiements du projet. Une bonne discussion initiale dure environ 2h et c’est souvent suffisant pour obtenir un croquis à main levée et une bonne idée d’une stratégie globale.
En fait, la stratégie de mise en marché web est tellement importante que la SADC Suroît-Sud a mis sur pied un programme qui rembourse 90% des dépenses encourues par l’entreprise. Grâce à ce programme, cette première rencontre vous coûte 35$ et vous permettra de bâtir des bases solides pour votre site web et déterminer une stratégie de mise en marché web avec confiance.
Merci pour toutes ces excellentes informations Éveline et d’avoir participé à l’émission.
Comment faire pour que mon site web sorte sur Google
L’engouement pour les réseaux sociaux est indéniable: les gens suivent les marques parce qu’ils veulent recevoir leurs dernières nouvelles et connaître les promotions en cours.
Quoique leur importance relative soit propre à votre entreprise, les différentes plateformes sont des composantes à considérer dans le marketing moderne.
Plusieurs entreprises gèrent leurs réseaux sociaux en publiant la même information sur l’ensemble de ses plateformes alors que le message gagnerait à adopter une approche distincte selon le moyen utilisé. Pour illustrer cette différence, rien de mieux que l’exemple classique du café!
En résumé, on verra:
RÉSEAU SOCIAL |
INTERACTION TYPIQUE |
EXPLICATION |
FACEBOOK |
Café entre amis au resto du coin |
Facebook est comme un album photo. L’information que vous y publierez est conservée dans votre Fil Facebook et les photos demeurent archivées |
INSTAGRAM
|
Me voici à boire du café entre amis |
Instagram est une série de clins d’oeil. Sous forme de photos classées chronologiquement, ce qui y est publié a une portée plus éphémère que Facebook. Instagram remplace de plus en plus Facebook auprès des jeunes. |
LINKEDIN |
Buveur de café depuis ‘97 |
LinkedIn affiche votre curriculum vitae. Vous pouvez y publier des présentations/vidéos que vous avez fait afin de démontrer votre expertise et vous y recueillez les recommandations des gens avec qui vous avez travaillé. |
TWITTER
|
Hmmmm un bon #café |
Twitter publie vos pensées en 140 caractères et vous permet de répondre aux courts textes publiés par les autres. Les # repérent des discussions sur les sujets spécifiques et vous permettent de suivre votre marque à travers les conversations affichées sur Twitter. |
PINTEREST
|
Voici différentes images de « cafe art » |
Pinterest vous permet de classer des images ou des courts vidéos en tableaux. |
INFOLETTRE
|
Dégustation de café lundi |
L’infolettre est utilisée pour vous adresser aux gens qui vous ont laissé leur courriel pour les tenir au courant de ce qui se passe. |
YOUTUBE
|
Techniques de « cafe art » de la barista |
YouTube répertorie vos vidéos. Deuxième moteur de recherche le plus utilisé après Google, le volet référencement des vidéos est souvent sous-estimé. |
BLOGUE |
Americano vs Cappuccino |
Un article de blogue est utilisé pour publier du contenu. Si le sujet est d’intérêt, votre site web augmente en popularité au hasard des recherches des internautes qui viennent ainsi à connaître votre expertise sur le sujet. Une bonne bibliothèque d’articles de blogue est un investissement à long terme. |
Facebook est souvent la porte d’entrée des entrepreneurs dans le monde des réseaux sociaux. Or, Facebook a changé ses règles déterminant ce qui est affiché sur le mur de vos abonnés. Priorisant dorénavant le contenu des gens avec qui ils ont des connexions d’amitié, Facebook veut amener les entreprises à payer leur visibilité… d’où l’importance croissante d’apprendre à utiliser le module publicitaire de Facebook comme composante essentielle dans la gestion de communauté.
Peu importe votre mix marketing, la recette est simple mais exige une bonne discipline de travail: adressez-vous à votre client idéal (votre principal persona) et conservez un ratio 80:20, soit 20% en publicité directe sur les produits et 80% en information d’intérêt connexe. N’hésitez donc pas à explorer les possibilités d’une promotion croisée avec des entreprises complémentaires visant la même clientèle. Chacun profitera du réseau de l’autre pour une publicité dont les frais auront pu être partagés. Des idées autour de vous? Osez donc.
Vous sentez-vous épié(e) sur le web?
Vous êtes sur Internet à la recherche d’un produit ou d’un service. Vous cliquez sur un résultat de recherche qui vous amène sur un site Web que vous quittez éventuellement sans acheter. Quelques minutes plus tard, vous réalisez que de nombreuses publicités que vous apercevez sur les autres sites sont intimement liées à votre recherche précédente. Il ne s’agit pas de magie, vous n’êtes pas personnellement suivi… c’est le pouvoir du remarketing.
Le principe est simple. Qu’il soit déclenché par la visite d’un site Web ou la recherche d’un mot-clé sur un moteur de recherches, un cookie étiquette le navigateur utilisé (tel que chrome ou explorer). Celui-ci se met ensuite à générer une publicité dans les espaces dédiés à cet effet sur les blogues et magazines visités par la suite.
Quoique les études démontrent que plus de la moitié des internautes en sont plus ou moins importunés, la pratique est de plus en plus populaire et pour cause: si le taux de clic sur une publicité est d’environ 0,07%, la même moyenne se situe aux alentours de 0.7% lorsqu’il s’agit de remarketing. De plus, on rapporte que l’internaute ciblé par remarketing a 70% plus de chance d’acheter.
Pour l’entreprise, le remarketing offre une visibilité inégalée. Il est possible (et recommandé) de planifier le remarketing comme une campagne publicitaire qui s’échelonne dans le temps.
Ainsi, vous pouvez cibler les internautes qui ont ajouté des articles à leur panier mais qui n’ont pas confirmé la transaction. Que ce soit sous forme d’annonces textuelles, illustrées ou de vidéos, vous pouvez ensuite afficher précisément les produits ou les services consultés sur votre site Web.
Vous souvenez-vous du temps où on ne cliquait pas sur les annonces des moteurs de recherche de peur qu’ils nous amènent sur des sites indésirables? Il est fort à parier qu’à l’instar des autres publicités sur Internet, le grand public finira par faire confiance aux annonces de remarketing.
Ceci dit, le remarketing sollicite l’internaute qui a soulevé le moindre intérêt pour votre offre et c’est pour cette raison qu’il a tant de succès. Imaginez les retombées d’un internaute qui sollicite lui-même vos publicités.
Les principes de base sont les suivants: l’entreprise paie chaque clic sur son annonce, et le coût de ce clic dépend de la qualité de l’annonce et du montant misé.
Or, le montant à payer pour chaque clic relève autant du génie que d’une profession de foi. Anticipant la grande popularité du système, Google utilise un système d’enchère secrète pour prioriser les annonces qui apparaîtront dans la page des résultats de recherche et déterminer le coût pour chaque clic obtenu.
FACTEUR UN: VOTRE MISE (BID)
Dans une enchère traditionnelle, la mise la plus élevée serait celle payée par l’entrepreneur qui se retrouverait en première position. Google utilise plutôt une variation qu’il appelle « l’enchère du deuxième prix », où l’annonceur n’a pas à payer le prix auquel il soumet mais bien 1 sou de plus que la proposition la plus près, lui assurant ainsi de ne pas payer plus que ce qui est strictement nécessaire pour devancer la compétition.
FACTEUR DEUX: LA QUALITÉ DE VOTRE ANNONCE
Quant au positionnement de l’annonce, un autre facteur est pris en considération par Google: la qualité de l’annonce. Celle-ci est calculée selon un algorithme qui inclut le taux de clic prévu, l’acuité de la page vers laquelle le clic est dirigé (la landing page) et la pertinence de l’annonce en tant que telle. Finalement, le format ajoute également de la valeur à une annonce en la présentant d’une façon mieux organisée, isolant par exemple le numéro de téléphone, les pages-clés du site Web, etc.
Si vous cherchiez une réponse plus pratique, sachez simplement que le coût moyen d’un clic sur une annonce est de 1 à 2$ dans le réseau de recherche alors qu’il en coûte moins d’un dollar par clic sur les annonces visuelles publiées à travers Adsense (bannières dans les magasines web et les blogues).
Le logiciel Google Adwords gérant les campagnes marketing est gratuit. Il peut être tout aussi gratuitement automatisé pour optimiser à votre guise soit le nombre de clic obtenu, soit les revenus dégagés. Pour vous assurer de payer seulement les frais liés aux clics obtenus, exigez de payer directement à Google vos publicités.
Ceci dit, le véritable enjeu pour diminuer les coûts de votre publicité sur Google réside dans l’amélioration de l’annonce, la landing page et l’emploi des statistiques observées autour des mots-clés utilisés à venir jusqu’à présent pour n’en garder que les meilleurs. Pour améliorer le positionnement de votre annonce… il n’y a qu’une façon: augmenter la mise!
En gérant vous-même vos annonces sur Google, vous pourrez l’optimiser et bénéficier des meilleures pratiques de remarketing sans frais additionnels et ainsi passer pour une entreprise aux budgets publicitaires de la taille des grandes entreprises modernes. Dans une prochaine chronique, je vous entretiendrai sur cette nouvelle vague de publicité qui remporte tant de succès. De plus, les annonces Adwords contribuent à votre positionnement organique: les mots que vous choisissez pour faire paraître votre annonce et la façon dont les gens réagissent sur votre site (faible taux de rebond) envoie un signal clair à Google quant à la pertinence de votre site pour ces mots et votre position organique est d’autant améliorée.
Faîtes l’exercice un mois de mettre votre investissement marketing en annonces Google plutôt qu’en répertoires populaires, par exemple, et vous serez vite convaincu d’avoir fait le meilleur « move » au monde. …Pour autant que vous ayez un site Web vers lequel orienter les clics sur votre annonce et que votre site Web soit bâti pour être efficace.
Facebook a bouleversé votre façon d’interagir avec vos parents et amis, élargissant votre cercle de connaissances d’aussi loin que vous souhaiterez tisser des liens autant avec vos amis d’enfance qu’avec les groupes qui vous ressemblent ou les entreprises qui vous interpellent. Au fil des ans, il est d’ailleurs devenu le premier réseau social de nombreuses entreprises, parfois devançant même leur propre site Web à cause de sa gratuité.
D’abord, il existe plusieurs types d’entités Facebook.
Le profil Facebook
Le profil appartient à un individu qui peut l’utiliser pour trouver des « friends ». Il offre des fonctions aussi variées que la publication de messages, vidéos, sondages ou la création d’un événement public ou pour une partie de vos amis que vous inviterez. Vous vous êtes sûrement déjà amusé avec les appels vidéos sur Messenger et les différents accessoires que le logiciel est capable de vous affubler virtuellement.
Voici quelques fonctions qui peuvent vous intéresser en lien avec vos interactions avec les pages Entreprises.
Choisir les publications que vous voulez voir
Pour ne rien manquer d’une entreprise que vous suivez, allez sur la page de l’entreprise en question, et sous le bouton « Déjà abonné(e) », sélectionnez « Voir en premier ».
Garder une publication en archive
Vous tombez sur une publication Facebook que vous souhaitez enregistrer pour la revoir au besoin?
Enregistrez d’abord la publication grâce aux « … » au coin de la publication, puis vous retrouverez vos enregistrements sous l’onglet « Accueil » parmi toutes les options de la colonne sous votre photo de profil. À partir de cette liste d’enregistrement, vous pourrez d’ailleurs redistribuer l’information sur l’une ou l’autre de votre page d’entreprise.
La page Facebook
C’est le format officiel pour les entreprises qui peuvent ainsi cumuler des « fans ». Des options additionnelles sont offertes aux entreprises sur Facebook, comme la fameuse publicité dont la précision du ciblage est surprenante et les retombées, très intéressantes. Vous aurez également accès à Insights pour obtenir les statistiques de performance de votre page Facebook:
- le nombre de personnes atteintes et le nombre d’interactions avec vos publications;
- le nombre de personnes ayant contacté votre entreprise à partir de votre Page Facebook ;
- votre temps de réponse moyen;
- le nombre de fois que des personnes ont indiqué se trouver dans votre commerce avec leurs publications.
À noter que depuis la révision de l’algorithme de Facebook, les entreprises ont de plus en plus de difficulté à rejoindre leurs « fans » par le biais de leur Page afin de privilégier les amis officiellement et faire payer les entreprises pour leur visibilité, honnêtement.
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